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 Ronron Rp

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MessageSujet: Ronron Rp   Ronron Rp EmptyVen 2 Juil - 23:40

Dans ce Rp je suis une femme, Amika Kazeryu, général du village du vent. Elle ne connait pas encore la Sen (chef du village) car celle-ci vient seulement de prendre ses fonctions, c'est Helena. bref voila.

Amika Kazeryu a écrit:
Partir enquêter sur des fait étranges dans les forêts perdues.

Voici l'ordre succin qui parvint sur papier à Amika. C'était un jeune homme assez intimidé qui lui avait apporté, sitôt il avait donné ce qu'il colportait qu'il s'éclipsait rapidement en bredouillant quelques mots. Il faut croire que la réputation d'inquisitrice de la jeune femme avait porté ses fruits... Accompagné de ce mot ne contenant que l'ordre de mission elle découvrit une autre feuille dissimulée derrière celle-ci disant qu'un garde du corps la suivrait. Pourquoi lui faisait-on tant d'égards? Pourquoi ce double papier qui cache un message secret qui paraissait si anodin? Amika se demandait vraiment ce que pouvait bien trafiquer la nouvelle Sen. Oui, elle ne connaissait pas encore la nouvelle Sen, elle avait prit fonction il y a peu dans le plus grand secret et même sa subordonnée directe, Amika, ne connaissait pas son apparence. Bref, elle trouvait cela malpoli de ne même pas se présenter >.<.

Une autre personne vint à la suite du jeune homme. C'était une femme qui se présenta directement comme celle nommée garde du corps. Amika avait déjà une garde rapprochée mais elle lui expliqua que cette mission impliquait que ce soit elle qui l'accompagne. Qui pouvait bien être cette femme aux long cheveux noir attachés en queue de cheval. Elle portait des Habits de couleurs sombre mettant en valeur toute sa féminité. Son visage paraissait doux mais ses yeux faisaient preuve d'une très grande force mentale. Amika remarqua la musculature assez développée de la jeune femme qui dépassait bien-sûr sa médiocre résistance physique. Bref, c'était quelqu'un de fort, peut-être est-ce pour cela qu'on l'avait dépêché sur cette mission. Amika prit alors un air sérieux et lui dit d'aller préparer ces affaires pour partir au plus vite, elle voulait être la première. Comme d'habitude Amika jouait son jeu de double personnalité et ne montrait que le côté inquisiteur, droit et stricte de sa personnalité. Elle n'aimait pas se laisser gouverner par ces envies futiles de rire ou d'être sympathique avec ses subordonnés, surement un signe de faiblesse pour elle.

On était en pleine nuit, Amika fut rejointe par la garde du corps, elle se prénommait Helena d'après les écrits du Sen, peut-être un nom de code. Les deux compères se glissèrent alors vers l'étable où Amika força sans soin un pauvre cadenas pour voler deux chevaux. Helena tenta bien de lui dire qu'il suffisait d'attendre le jour mais la petite rebelle qui était devant elle ne voulait rien entendre. Elles enfourchèrent alors leurs montures et chevauchèrent vers leur destination...

La forêt perdu n'était pas si menacent que ça. On constatait seulement que la végétation y avait reprit ses droits. Les lianes formaient des entrelacs avec du lierre dont les tiges étaient d'un centimètre au moins. Les champignons et la mousse recouvraient le sol. On ne ressentait néanmoins aucune vie animale à ce qu'il paraissait. En fixant l'horizon depuis le haut d'un arbre tricentenaire Amika aperçu des fumées au loin ainsi qu'un endroit où les arbres paraissaient calcinés. Elle accourut alors suivit de la nouvelle venue. Elles avaient du laisser les chevaux à la lisière non pas parce que la forêt était impraticable mais parce qu'une force maléfique leur donnait envie de fuir...

Arrivant près de l'endroit qu'elle avait pu observer du haut de son arbre, on pouvait entendre distinctement une activité humaine d'au moins 1000 homme. Le campement qui s'élevait devant eux était de la taille d'un village entier voire plus. Amika proposa alors de se replier dans les bois et se percha dans un arbre, allongée sur une grosse branche comme elle aime le faire. Elle laissa filtrer un message dans le vent disant aux autres où les rejoindre.
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MessageSujet: Re: Ronron Rp   Ronron Rp EmptyVen 2 Juil - 23:43

Une mission dans avatar le film, je suis un na'vi:

Ma’Kot’Ku s’approchait du bureau du chef alors qu’un bruit assourdissant arriva brutalement de la forêt, faisant trembler le sol et les petites huttes de bois du village. Le Na’vi se figea alors pour fixer l’endroit d’où provenait l’étrange bruit ferrailleux. Il y avait un énorme nuage de poussière qui s’échappait du haut des arbres au loin dans la forêt. On pouvait voir de nombreux Ikrans s’envoler dans la panique. Le danger semblait loin du village, cela devait être encore une manigance de ceux qui viennent du ciel. Ma’Kot’Ku repris alors sa marche vers le bureau du chef. Celui-ci était une hutte un peu plus grande que les autres. Au devant il y avait un petit escalier de bois, le dessus était recouvert de grosses feuilles de plantes grasses qui ne pouvaient craindre la sécheresse. Il y avait au dessus de la porte le crane d’un Ikran, surement une ancienne monture d’un des chefs des chevaucheurs du sud. Il entra alors d’un pas hésitant, le planché vieillot craquait à chaque fois que les pieds du Na’vi se posaient. Il y avait un bureau qui trônait au milieu de la pièce mais la chaise où devait être le chef était vacant. Il regarda aux alentours pour chercher conseil. C’est la qu’un Na’vi s’approcha de lui, il se présenta sous le nom de Ka’Tou’Kar. C’était un des conseillers du chef. Il expliqua que le bruit de tout à l’heure était en fait un grand oiseau de fer qui avait prit feu et s’était écrasé dans la forêt fendant l’air et les arbres. Il devait surement y avoir des rescapés et il fallait enquêter sur cet évènement. Ma’Kot’Ku n’avait pas meilleure opportunité. Il acquiesça alors et se précipita dehors pour voir les deux autres frères qui l’attendaient. Il fit de courtes présentations expliquant qu’il devait retourner à sa hutte pour s’équiper. Il arriva alors rapidement chez lui, une petite maison en bois similaire à celle du chef mais moins grande. Il y avait un hamac et une petite table pour manger. Les arcs étaient entreposés dans une caisse en bois qu’il sortit du dessous du hamac. Le chevaucheur du sud prépara alors son harnachement. Il attacha son porte couteau sur sa poitrine, vérifia l’état de la lame du couteau et le rangea dedans. Il prit ensuite son arc ainsi que deux flèches qu’il trempa dans le poison. Il remit la caisse en dessous du lit et sortit de la hutte. Les 3 autres Na’vis étaient en train de l’attendre à la sortie du village. Il accourut alors et les rejoint.

Il était facile de suivre la piste de l’accident. L’odeur de fer carbonisé et de feuilles brûlées tranchait l’air comme une flèche dans la chaire. Il regarda ses compagnons qui étaient en train de renifler au sol. Il n’y avait pour le moment rien de fort inquiétant, juste un loup vipère qui avait du venir ici pour procréer. Ils avancèrent alors parmi les fougères et les racines des arbres. Le soleil perçait à peine l’épais feuillage vert et bleu des arbres. Il y avait tout autour d’eux des sortes de champignons géants qui se rétractaient quand on les touchait. On pouvait parfois entendre le grognement d’un loup vipère mais les 4 Na’vi n’avaient pas à le craindre spécialement. Néanmoins Ka’Tou’Ka, l’assistant du chef donna l’ordre de monter dans les arbres pour éviter la menace au sol. En haut de la cime on pouvait apercevoir le nuage de fumée toxique noire qui s’échappait de la carcasse du grand oiseau de fer. On se rapprochait mais l’image ne faisait que confirmer l’odeur terrible qui polluait la forêt. Les 4 chevaucheurs du sud s’élancèrent alors de branches en branches. Parfois la branche était trop frêle pour eux et s’écroulait dans un craquement mortel ne laissant d’autre choix au Na’vi que d’improviser pour continuer. Les branches étaient mousseuses et finissaient par rendre difficile la progression. Sous le conseil de Ma’Kot’ku, les 4 compagnons redescendirent pour continuer à pied. Il n‘y avait plus une grande distance à parcourir. Ils croisèrent le cadavre d’un loup vipère carbonisé. Les Na’vi s’arrêtèrent et prirent un moment pour couvrir la bête et faire la prière à Eywa. Le sol se faisait de plus en plus aride et ils arrivèrent finalement au vaisseau.

La terre était noircie par le feu, les arbres avaient leurs cimes et une partie des branches arrachées et calcinées. Il y avait des cadavres de loup vipères morts brûlé. Il n’y avait pas de doute, le vaisseau s’est écrasé sur une meute. La trajectoire du vaisseau se traçait dans un énorme sillon creusé dans la terre. On pouvait entendre des voix humaines affolées venir de l’autre côté du vaisseau. Les Na’vi versèrent quelques larmes pour leurs frères loup vipères morts dans cette tragédie. Ils firent alors une prière à Eywa et empoignèrent leur arc avec fureur pour aller rejoindre les hommes assassins. Les 4 chevaucheurs des plaines se trouvèrent alors à découvert. Leurs yeux s’étaient habitués à l’obscurité. La lueur du soleil les accommoda mais ils n’eurent pas de mal à s’y habituer au bout d’un certain temps. Ils regardèrent le cockpit du vaisseau qu’ils appelaient les yeux du grand oiseau de fer. Il y avait les cadavres des deux chauffeurs dont l’un avait du laisser la marque ensanglanté de sa tête sur la vitre. Ma’Kot’ku regarda cette scène avec dédain faisant comprendre aux autres que pour lui ils n’avaient que ce qu’ils méritaient. Ils firent alors le tour voyant enfin les survivants de l’accident. Il y avait une femme dans une blouse blanche entourée de 5 hommes ainsi qu’une femme armés de grosses armes qui font du bruit. Ils finissaient de tuer les derniers loups vipères qui agonisaient dans d’atroces souffrances. Ma’Kot’Ku se jeta alors à l’assaut. Il prit son arc qui était dans son dos et l’éleva, dans le même mouvement sa flèche fut armée et il banda son arc. Dans un sifflement rapide la flèche alla se caller dans le cœur d’un homme qui s’acharnait sur une des pauvres bêtes. Un des Na’vis qui l’accompagnaient en acheva un autre tandis que les deux autres se dirigeaient vers les loups vipères qui hurlaient de douleur. Un homme pointa alors son arme sur Ma’Kot’Ku qui vit alors son dernier jour arriver… Tout ce passa rapidement, l’homme qui le visait reçut une flèche en pleine tête du compagnon Na’vi de Ma’Kot’Ku tandis que la femme en blouse blanche baissa l’arme de la femme qui allait tirer et somma les autres de baisser également leurs armes…

Les Na’vis finirent d’abréger les souffrances des amis loups vipères et rejoignirent les deux autres qui tenaient les hommes en joug. Ma’Kot’Ku désarma les mercenaires et les fit se regrouper sur le côté. La femme en blouse ne fut pas exclue de ce traitement bien qu’elle ne semblait pas armée. Un homme tenta alors de se débattre ce qui donna une raison à notre Na’vi pour le balancer contre un arbre. Chacun d’eux eu les mains liées d’une grosse corde qui passait au niveau des épaules pour se croiser devant le torse et repasser derrière. Ils ne pouvaient ainsi plus bouger. Ka’Tou’Ka s’assura de la solidité des liens avant de les emmener dans la forêt. L’homme qui avait été balancé contre un arbre par Ma’Kot’Ku avait la peau d’un avant bras déchirée par l’écorce. C’est là que la dame en blouse intervenu…


Arrêtez je vous en supplie il faut soigner ses blessures.

Ma’Kot’Ku la regarda en rigolant, on pouvait lire les mépris dans les traits de son visage. Les autres Na’vis ne semblaient pas si haineux envers ceux-ci bien qu’ils ne faisaient pas non plus de cadeaux. Ma’Kot’Ku plaqua la femme en blouse contre un tronc pour affirmer son autorité… De toute façon les 3 autres Na’vis ne savaient pas parler l’anglais.

Toi, femme humaine, tu as tué de nombreux de nos amis aujourd’hui pourquoi vous ferai-je donc une faveur ? Dis le moi un peu.
- Je… je suis scientifique, ces hommes n’ont fait que se défendre…
- Scientifique ? Qu’est-ce ?
- Je fais des recherches je suis de votre côté !


Cette femme semblait déterminée. Son intervention lors de la fusillade n’était pas passée inaperçue même aux yeux de Ma’Kot’Ku. Il est vrai qu’elle avait fait arrêter les tirs juste au bon moment. Elle semblait inoffensive et Ka’Tou’Ka expliqua que c’étaient les scientifiques qui commandaient les avatars et il nomma Toruk Mak Tau comme exemple. Il s’en suivit un débat pour savoir ce qu’il fallait en faire. L’assistant du chef avait des propos plus mesurés et était suivit par ses 2 comparses tandis que notre jeune chevaucheur du sud voulait en faire des prisonniers et surement les donner en pâture aux animaux pour réparer leurs crimes envers Eywa. Il fut décidé par le vote qu’on allait relâcher la scientifique et les mercenaires. D’après Ka’Tou’Ka en faire des prisonnier ne ferait qu’envenimer les relations avec ceux qui viennent du ciel. Bien que cela ne contente pas Ma’Kot’Ku il tint à leur dire qu’ils étaient libres et à les libérer. Il vint alors avec un couteau et s’approcha du premier homme et lui plaça sous la gorge. La peur qu’il dégageait fit rire le Na’vi qui défit ses liens.

Contre mon grès vous êtes libres, ne prenez pas cela comme une faveur mais comme un sursit. Surtout n’oubliez pas vos amis qui sont morts là-bas car vous pourriez vous retrouver à leur place pour vos crimes face à Eywa.


Les hommes prirent leurs jambes à leur cou dès qu’ils furent détachés. La terreur se lisait facilement sur leurs visages. Ma’Kot’Ku eut encore une preuve de la petitesse humaine et s’en moqua ouvertement. La jeune femme en blouse ne partit pas en revanche et s’inclina devant le Na’vi.

Je suis vraiment désolée pour les loups vipères nous ne faisions que nous défendre… Je te remercie en tout cas fils d’Eywa, nous ne vous voulons pas de mal nous les scientifiques je suis heureuse que vous l’ayez compris…

Sur ces mots elle courut en direction des autres. Ma’Kot’Ku ne voyait pas les choses comme elle l’avait dit, pour lui les scientifiques n’étaient que des hommes, ils ne valaient pas mieux que les autres. Néanmoins les paroles de la jeune femme troublèrent le Na’vi. Y aurait-il des hommes bons dans ce monde ? Il rejoint alors les 3 autres et ils rentrèrent au village faisant le deuil de toutes ces bêtes et ces arbres mort à cause de la mort du grand oiseau de fer…
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Ronron Rp
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